La FJDF prends au sérieux les cambriolages qui s’est passé dans son bureau car ceux-ci fait revivre les évènements de menace perpétrés à ces acteurs suite au travail de défense aux côtés des victimes.
Certains de ces acteurs ont été délocalisés, des dispositifs sécuritaires ont été renforcés au bureau de Butembo et aux résidences des avocats.
Des signes avant-coureurs avaient été détectés lorsque les excréments humains étaient déposés en mainte reprise à la porte du bureau de la Maison d’écoute de Njiapanda.
Devant toute ces actes, la FJDF avait toujours pris soins de porter plainte contre inconnu à l’autorité compétente qui malheureusement aucune suite n’a jamais été réservée malgré le suivi.
Notre demande s’adresse aux organisations qui appui les défenses en danger de nous porter assistance.
La rédaction